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GENEALOGIE DESCENDANTE DE LA FAMILLE DE JEANNE D'ARC : MA VERSION

samedi 12 mai 2012

Robert SEROT, député et sénateur de la Moselle au 20ème siècle

M. Robert SÉROT
Né le 18/02/1885 à SAINT-DIZIER (HAUTE-MARNE - FRANCE)
Décédé le 28/03/1953 à PARIS (PARIS - FRANCE)


Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés

  16/11/1919 - 31/05/1924 : Moselle - Entente républicaine démocratique

  11/05/1924 - 31/05/1928 : Moselle - Union républicaine démocratique

  22/04/1928 - 31/05/1932 : Moselle - Union républicaine démocratique

  01/05/1932 - 31/05/1936 : Moselle - Républicain et social

  26/04/1936 - 31/05/1942 : Moselle - Républicains indépendants et d'action sociale

  21/10/1945 - 10/06/1946 : Moselle - Républicains indépendants

Mandats au Sénat ou à la Chambre des pairs

  Sénateur : de 01/01/1946 à 01/01/1948 


Portrait de Robert Sérot (photo : agence Meurisse, source : gallica, bnf)



Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1889 à 1940 (J.Joly)

Né le 18 février 1885 à Saint-Dizier (Haute-Marne).

Député de la Moselle de 1919 à 1942. Sous-secrétaire d'Etat à l'Agriculture du 3 novembre 1929 au 21 février 1930 et du 2 mars au 12 décembre 1930.

Issu d'une vieille famille messine, ingénieur agronome puis officier des eaux et forêts, Robert Sérot fut élu député de la Moselle aux élections générales des 16 novembre et 14 décembre 1919, sur la liste d'union républicaine où figuraient aussi de Wendel et Robert Schuman, avec 62.000 voix sur 116.409 inscrits.

Ce n'était pas un inconnu qui arrivait sur la scène politique. Pendant la Première Guerre mondiale, après s'être battu sur le front et avoir été décoré de la croix de guerre, il avait été chargé de nombreuses missions en Orient. Il avait été notamment chef du 2e Bureau de notre corps expéditionnaire, puis accrédité par les armées alliées auprès du comte Karolyi, chef du gouvernement hongrois après l'armistice. Il avait ensuite représenté la France à la Société des Nations.

A la Chambre, il s'inscrivit au groupe de l'entente républicaine et démocratique. Membre de la commission du commerce et de l'industrie, ce parlementaire sérieux et consciencieux se consacra surtout à l'étude des problèmes commerciaux, industriels et agricoles et à leurs répercussions dans son département. Aux élections des 11 et 25 mai 1924, il fut réélu sur la liste d'union républicaine, obtenant 58.761 voix, immédiatement après Robert Schuman qui en recueillit 59.180, sur 137.994 inscrits.

De nouveau membre de la commission des finances, il prit part à la discussion du projet de loi relatif à l'amnistie. Aux élections des 22 et 29 avril 1928, il fut élu au scrutin uninominal, dans la 2e circonscription de Metz, par 10.294 voix, son principal concurrent, Noisette n'obtenant que 3.423 suffrages, sur 18.067 inscrits.

Il retrouva ainsi sa place au sein de la commission des finances (1928), puis fit partie de la commission des douanes et des conventions commerciales (1931).

Il déposa d'abord une proposition de loi tendant à la transformation en Cour d'appel à Metz de la troisième chambre de la Cour d'appel de Colmar. Bien que continuant à s intéresser aux problèmes propres à l'Alsace-Lorraine, il n'en demeurait pas moins un observateur averti des affaires étrangères. C'est ainsi qu'il présenta un rapport sur le projet de loi tendant à l'approbation d un arrangement au sujet du condominium franco-britannique (1931) et sur le projet de loi tendant à l'approbation de l'arrangement commercial franco-égyptien conclu au Caire en 1931.

Mais cette législature fut surtout marquée pour lui par son entrée au gouvernement. Il fut nommé sous-secrétaire d'Etat à l'Agriculture dans le premier cabinet Tardieu par décret du 3 novembre 1929 et, à ce titre, s'intéressa au problème de la pollution des eaux. Il fut de nouveau sous-secrétaire d'Etat à l'Agriculture dans le deuxième cabinet Tardieu à partir du 2 mars 1930 jusqu'au 12 décembre de la même année. Son intérêt pour les problèmes agricoles fera de lui le promoteur de la loi relative à la distribution de l'énergie dans les campagnes.

Le 1er mai 1932 il fut réélu au premier tour de scrutin dans la 2e circonscription de Metz par 9.921 voix - alors que son concurrent, Flocard, en obtenait 2.608 - sur 19.033 inscrits. Il s'inscrit, à la Chambre, au groupe républicain et social.

Membre de la commission de l'Alsace et de la Lorraine (1932), de la commission des régions libérées, de la commission des douanes et des conventions commerciales (1934), de la commission des affaires étrangères ses interventions vont demeurer nombreuses.

Ses électeurs lui renouvelèrent son mandat le 26 avril 1936, au premier tour de scrutin, par 11.401 voix sur 20.077 inscrits. Son concurrent, Simon, n'en avait obtenu que 4.124.

Il s'inscrivit au groupe des républicains indépendants et d'action sociale et devint membre de la commission des affaires étrangères.

Il fut également président de la commission des mines de potasse d'Alsace et vice-président de la commission des marchés de guerre.

Le 10 juillet 1940, il vota les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.




Biographie de la IVe République

Né le 18 février 1885 à Saint-Dizier (Haute-Marne)
Décédé le 28 mars 1954 à Paris
Député de la Moselle de 1919 à 1942
Sous-secrétaire d’Etat à l’agriculture du 3 novembre 1929 au 21 février 1930 et du 2 mars au 12 décembre 1930
Membre de la première Assemblée nationale constituante (Moselle)
Conseiller de la République, élu par l’Assemblée nationale, de 1946 à 1948
Président du conseil général de la Moselle depuis 1934, Robert Sérot vote, le 10 juillet 1940, le projet de loi constitutionnelle proposé par le maréchal Pétain.


Après la seconde guerre mondiale, il renoue avec la vie politique nationale lors de son élection à la première Assemblée nationale, le 21 octobre 1945. Il figure alors en deuxième position sur la liste d’entente républicaine conduite dans le département de la Moselle par Robert Schuman. Arrivée nettement en tête avec 43,5% des suffrages exprimés, elle obtient quatre des sept sièges à pourvoir.


Inscrit au groupe du Mouvement républicain populaire (MRP), Robert Sérot est membre de la commission des affaires étrangères. En janvier 1946, il dépose une proposition de résolution et une proposition de loi relatives, respectivement, à la prorogation du délai imparti aux contribuables pour l’établissement de leur déclaration de patrimoine et à la modification en faveur des petits rentiers âgés ou infirmes des dispositions de l’ordonnance du 15 août 1945 instituant un impôt de solidarité nationale en leur faisant bénéficier d’une majoration supplémentaire d’abattement. En séance publique, il intervient à cinq reprises, en défend notamment quatre amendements. Il prend la parole sur les intérêts des expulsés de guerre dont le plus grand nombre se trouve en Moselle et au sujet des anciens porteurs de valeurs mobilières à revenu fixe dont les moyens d’existence sont devenus insuffisants à la suite de la dévaluation.

Il n’est candidat ni à la deuxième Constituante ni aux élections législatives du 10 novembre 1946. L’Assemblée nationale le désigne en revanche le 8 décembre 1946 pour siéger au Conseil de la République, où il préside le groupe des républicains indépendants. Membre de la commission des affaires étrangères tout au long de son mandat, Robert Sérot fait également partie des commissions du règlement (1946-1947), de la comptabilité et de la France d’Outre-mer (1947). Dès le 8 mai 1947, ses collègues le portent à la vice-présidence de la Haute Assemblée, fonction qu’il remplit jusqu’en novembre 1948.

Les six propositions de loi ou de résolution, qu’il dépose entre 1947 et 1948, concernent le droit de contrôle législatif du Conseil de la République, l’accord à Madame la générale Leclerc d’une pension exceptionnelle, l’attribution de prêts par le Crédit agricole mutuel pour la reprise de l’activité agricole, la législation sur les loyers des locaux professionnels et d’habitation, le classement hiérarchique des emplois permanents de l’Etat et la retraite des fonctionnaires. En 1948, douloureusement touché par l’annonce du cataclysme qui vient de ravager l’ouest des Etats-Unis et la Colombie britannique, il rédige au nom du Conseil de la République une motion de sympathie à l’adresse de la nation américaine et au peuple canadien. Il intervient dans les discussions d’ordre budgétaire et fiscal, mais également sur des sujets aussi divers comme le renouvellement des Conseils généraux, les indemnités de fonctions des maires et adjoints, le règlement du Conseil de la République et l’élection par cette assemblée des membres de l’Assemblée de l’Union française ou encore la révision des contrats passés par les collectivités locales et la culture du blé et du seigle.

Candidat au renouvellement de son mandat dans le département de la Moselle, il conduit, le 7 novembre 1948, une liste d’entente mosellane qui, sur sa droite, subit la concurrence de la liste du Rassemblement du peuple français (RPF) menée par René Schwartz, laquelle remporte les trois sièges à pourvoir. La même année, il est cependant élu, par le Conseil de la République, conseiller de l’Union française, mandat qu’il conserve jusqu’à son décès le 28 mars 1954.

Source : site de l'assemblée nationale (www.assemblee-nationale.fr)


Nécrologie de Robert SEROT
Le Ier avril dernier étaient célébrées, en la Cathédrale de Metz, les obsèques d'un membre particulièrement eminent du Corps Forestier, Robert SÉROT, en présence de S. E. l'Evêque de Metz et d'une assistance extrêmement nombreuse, au premier rang de laquelle se tenaient les représentants du Gouvernement, des Asemblées, de la Province, du Département, de la Cité, de l'Armée et des diverses administrations.

Immédiatement devant le cercueil — qui à là Cathédrale fut porté par des Forestiers, — venaient l'Inspecteur Général des Eaux et Forêts représentant la Direction Générale, le Conservateur de Metz entouré de son personnel et de la délégation de l'Ecole Nationale des Eaux et Forêts.

A l'issue de la cérémonie, de nombreux discours prononcés au nom du Gouvernement, de l'Assemblée de l'Union Française, du Conseil Général de la Moselle, de l'Administration préfectorale, de la Ville de Metz... rappelèrent les services considérables rendus par le défunt à la grande et à la petite Patrie, au cours d'une vie particulièrement bien remplie, « exemple d'autorité et de simplicité, modèle d'obstination et de discrétion efficace ».

Né à Saint-Dizier (Haute-Marne), le 18 février 1885, d'une famille lorraine qui, pour rester Française, avait quitté Metz en 1870, Marie-Léon-Robert SEROT fit, à Nancy, de solides études secondaires au cours desquelles il se lit remarquer par la vivacité de son intelligence, le sérieux de son caractère, son haut esprit de camaraderie. Très jeune, dès 1903, il est reçu à l'Institut National Agronomique et en sort, en 1905, pour entrer à l'Ecole Nationale des Eaux et Forêts avec la 81e Promotion.

Comme autrefois à la Malgrange, il s'attacha très vite maîtres et camarades par la droiture de son caractère, par sa haute conscience professionnelle, sa serviabilité...

Après une année de service militaire comme Sous-Lieutenant de Réserve, il fut affecté à la Chefferie d'Evreux d'abord comme Garde Général stagiaire, puis comme Garde Général. En mars 1910, il revient, sur sa demande, en Lorraine, d'abord à Bruyères, puis, en mars 1913, à Baccarat.

La mobilisation d'août 1914 l'enlève à ses forêts pour le transformer en Lieutenant de Chasseurs à pied prenant part aux combats de Lorraine et de Champagne. Puis, c'est un court séjour au Maroc, suivi d'un retour en France pour participer, notamment, à la bataille de la Somme. Un peu plus tard, il fait partie du Corps expéditionnaire des Dardanelles. Des missions délicates lui sont confiées à Athènes, à Koritza, à Sofia, à Budapest. A la fin de la guerre, il était Capitaine, Chevalier de la Légion d'Honneur, décoré de la Croix de Guerre.

Aussitôt après l'Armistice, il est appelé aux services d'Alsace-Lorraine à Paris, puis chargé de mission auprès du premier Maire de Metz, M. Victor Ρ REVEL.

Le 18 août 1919, il obtenait sa mise en disponibilité: une brillante carrière politique s'offrait à lui. Elu, et maintes fois réélu Député de la Moselle, avec un nombre de voix impressionnant en 1919, 1924, 1928, 1932, 1936, il entra à deux reprises dans les conseils du gouvernement, du 2 novembre 1929 au 17 février 1930, puis du 2 mars 1930 à décembre 1930 comme Sous-Secrétaire d'Etat à l'Agriculture. C'est en cette qualité qu'il accompagnait, à l'Ecole Nationale des Eaux et Forêts, le président TARDIEU venu remettre, à notre Ecole, la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur.


Sous l'occupation, il se dépense sans compter pour adoucir le sort de ses compatriotes évacués d'abord, expulsés ensuite, réfugiés dans le Massif Central, le Sud-Ouest de la France,... « discret Ambassadeur de l'espérance et messager du retour », multipliant courageusement ses protestations, en liaison avec d'énergiques et valeureux patriotes lorrains comme lui.

A la Libération, il rentre à Metz parmi les premiers. Sa maison est pillée, gravement atteinte. Il s'occupe d'abord des autres : sinistrés, expulsés, déportés... Elu à la première Constituante, puis après ratification de la Constitution, au Conseil de la République, il en devient un des Vice-Présidents. Plus tard, c'est au Conseil de l'Union Française qu'il continuera à servir et demeurera un avocat apprécié de la grandeur française et de sa mission civilisatrice auprès des peuples confiés à la sollicitude de la mère patrie.

Conseiller Général de la Moselle en 1930, il ne tarda pas à en être élu Vice-Président en 1935. Dès 1936, après la démission de M. Guy de Wendel, il en devint, et en resta jusqu'à sa mort, le Président toujours écouté avec une particulière déférence.

Quant à nous, serviteurs de la Forêt, nous retiendrons la croisade qu'il mena dans les différentes assemblées pour la défendre. Son action aboutit, notamment, aux exonérations fiscales protectrices de sa conservation incluses dans la loi qui porte son nom, mais elles ne représentent qu'une partie de ses légitimes revendications et il disait volontiers que sa pensée avait été tellement restreinte qu'il n'en reconnaissait plus la paternité. Plus récemment, c'est au problème de la conservation des sols et de leur productivité qu'il consacra nombre de ses interventions, effectuant de longs voyages en Afrique du Nord, dans les territoires de l'Union Française, aux Etats-Unis, étayant ses rapports sur une riche masse de documents recueillis sur place.

Nous retiendrons aussi la charmante simplicité, l'amitié souriante et confiante que, malgré les honneurs, malgré l'éclat des hautes fonctions dont il fut investi, il ne cessa de témoigner à ses anciens Camarades. Toujours animé du plus pur patriotisme, du souci permanent du bien commun, d'une incomparable tolérance et d'une inépuisable charité, mais incapable de jamais rien céder à ses convictions profondes, il restera comme le symbole de l'esprit d'union et de concorde appuyé sur une grande délicatesse de coeur.

A sa vieille Ecole, il avait également toujours conservé un fidèle attachement, participant à ses fêtes, s'associant à ses deuils. Sa dernière visite fut liée à la session de Nancy, en juillet 1953, du Congrès International du Bois.
Source : Revue Forestière Française, 1954.

mercredi 9 mai 2012

Noémi de RAVINEL, gouvernante des princesses Isabelle et Louise d'Orléans

Edouard de Ravinel, né à Villé le 8 juin 1824, fut officier de Gendarmerie. Il tint garnison notamment à Saverne, Vienne (Isère), puis à Besançon où il fut mis à la retraite.

A ce moment, en raison de sa nombreuse famille, il fut nommé entrepreneur des tabacs à Toulon où il mourut le 11 août 1874, âgé de 50 ans. Il avait épousé, le 8 septembre 1852, Marie NOEL, née à Saint-Mihiel le 21 novembre 1832, habitant alors chez ses parents à Sommerviller.

Le mariage avait été l'oeuvre de Caroline de KLOPSTEIN, devenue par la suite Caroline de ROZIERE.

Lors de sa mort, Edouard de RAVINEL laissait sa femme avec de faibles moyens pour élever 10 enfants dont le dernier n'avait que deux ans. A cette période, Marie NOEL avait sa fille aînée Noémi, âgée de seize ans, très intelligente, qui se préparait à passer son brevet supérieur, ce qui à l'époque ouvrait le droit à professer dans l'enseignement secondaire des collèges féminins.

Tableau représentant Noémi de Ravinel dite "Doudou"

Par le baron de l'ESPEE, parent et ami de la famille, Marie NOEL eut la possibilité de faire entrer sa fille comme gouvernante des deux dernières filles du comte de Paris Louis-Philippe d’ORLEANS (petit-fils de Louis-Philippe) :
- Isabelle, qui épousa par la suite le duc de Guise Jean d’ORLEANS.
- Louise, qui épousa Carlo de BOURBON des DEUX-SICILES, infant d'Espagne.

Mariage d'Isabelle d'Orléans

Sur les 5 filles d'Edouard de RAVINEL, deux devinrent religieuses au Sacré-Coeur et trois restèrent célibataires : Noémi, le chef de file, dite "Doudou", Antoinette la maîtresse de Maison, dite "Lélette" et Marie, la dernière, dite "Grabotte", parcequ'étant jeune elle avait de gros mollets. Elles formaient toutes les trois un trio inséparable et haut en couleurs. Elles habitaient dans la propriété familiale de "La Ruche" à Sommerviller. Dans la famille, on les appelait "les Grabotte".

"Doudou" avait été, dès sa majorité, chez les princes d'Orléans pour faire l'éducation des dernières filles du comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe, alors en exil en Angleterre. C'est elle qui éleva la princesse Isabelle jusqu'à son mariage avec le duc de Guise, et la princesse Louise jusqu'à son mariage avec un infant d'Espagne.

Mariage de Louise d'Orléans en 1907

Au début, cette existence nouvelle, dans une atmosphère de Cour à l'étranger ne lui permettant de revoir sa mère qu’aux grandes vacances, a lourdement pesé à Noémi. Mais, les nombreux voyages qu'elle fut amenée faire, les délicates attentions des princes à son égard, adoucirent peu à peu la séparation et ce fût finalement avec peine que Noémi quitta les princes après le mariage de ses élèves.

Par la suite, la duchesse de Guise resta en relation très étroite avec Doudou, lui écrivant chaque semaine des lettres très intimes dont rien n'a jamais transpiré. Par contre, durant sa vie chez les princes, "Doudou" a tenu un journal que Philippe BERNARD-MICHEL possède en sa qualité de filleul du comte de Paris (ce journal est constitué de nombreux tomes, Noémi écrivant quotidiennement les faits et gestes de la famille d'Orléans).

Cette vie chez les princes avait valu a "Doudou" beaucoup de considération dans sa famille et ses deux autres soeurs lui vouaient un véritable culte. Elle en imposait d'ailleurs par sa distinction et par son intelligence.

Voisin de Crèvic, dont il n'est séparé que de deux kilomètres, Sommerviller avait de fréquents rapports avec les LYAUTEY et "Doudou" était l'amie d'enfance d'Hubert LYAUTEY, devenu Maréchal de France et Résident Général au Maroc. Elle avait eu un faible pour lui. Coincidence curieuse, "Doudou" était allée assister avec ses soeurs au passage du cortège funèbre du Maréchal à une fenêtre du théâtre, place Stanislas à Nancy, en 1934, lorsqu’elle fut prise d'un malaise au coeur au passage du cortège. Elle mourut pendant son transport à Sommerviller.

Portrait du Maréchal Lyautey


Par la suite, des liens subsistèrent avec la famille d'Orléans. En effet, Philippe BERNARD-MICHEL, né le 15 juin 1932, eut pour parrain et marraine le comte et la comtesse de Paris (Henri d’ORLEANS et Isabelle d’ORLEANS-BRAGANCE) qui envoyèrent douze superbes boites de dragées et une timbale en argent aux armes du dauphin. C'est André de RAVINEL, représentant le comte de Paris pour la Lorraine, et Louise de RAVINEL, tante de Philippe, qui représentèrent le parrain et la marraine.

La comtesse de Paris vint d'ailleurs voir son filleul à Uckange en 1951. Cette anecdote est relatée par Joseph BERNARD-MICHEL dans ses mémoires :

"Début mai 1951, le duc de Bourbon-Sicile et sa femme ont un accident d'auto sur la route de Luxembourg à Thionville et sont hospitalisés dans cette ville. Le comte de Paris venant les voir, je lui écris un mot pour lui dire que je me mets à sa disposition pour lui venir en aide s'il en a besoin. Ma lettre reste sans réponse, mais à huit jours de là, je suis suffoqué de m'entendre appeler au téléphone par la comtesse de Paris qui, se trouvant à Thionville au chevet de sa soeur et de son beau-frère, me dit son désir de venir voir son filleul Philippe et m’annonce qu'elle viendra dîner le lendemain dimanche, me demandant d'aller la chercher à Thionville. Au jour et à l'heure dite, je vais la chercher avec Philippe à l’hôtel métropole où elle est descendue et l’amène à Uckange où votre mère et Sabine, très agitées, la reçoivent avec de profondes révérences. Elle se montre très détendue, nullement protocolaire, conversation très amicale même. A 10H30, je la ramène à Thionville. Elle a laissé en souvenir à Philippe son briquet Dupont en laque."

Lors de ses dernières volontés, la comtesse de Paris n'oublia pas Noémie de RAVINEL puisqu'elle lui laissa en souvenir une broche et des livres de messe.

 

 
Source : Quelques souvenirs de famille, par Joseph BERNARD-MICHEL
 

mardi 8 mai 2012

Joseph BERNARD-MICHEL, directeur des chemins de fer de Wendel au 20ème siècle

Résumé de la vie de Joseph BERNARD-MICHEL

Joseph BERNARD-MICHEL est né le 5 août 1897 à Nancy. En 1914, il est reçu à son baccalauréat de mathématiques élémentaires et à son baccalauréat de philosophie. Il entre alors en classe préparatoire aux grandes écoles.

 

 

En 1915, malgré son jeune âge, il stoppe ses études et décide de s'engager dans l'armée afin de participer à l'effort de guerre français. Il suit les cours d'élève officier de réserve à Fontainebleau et sort aspirant en juin 1916. Il est alors affecté au 47ème régiment d'artillerie.

Tout au long de la guerre 14-18, il fera preuve d'un grand courage et sera plusieurs fois cité à l'ordre de l'armée :
- « Jeune officier très dévoué et très courageux. S'était déjà fait remarquer comme aspirant en 1916, pendant l'offensive de la Somme. Dans les récents combats de Champagne, a montré un absolu mépris du danger, notamment le 24 avril 1917, en exécutant, pendant un bombardement intense, une reconnaissance en vue de rechercher un observatoire pour le groupe et les batteries ».
- « Jeune officier d'un bel allant et d'un grand courage. A Verdun 1917, comme lieutenant de tir, a rendu les plus grands services, tant à la position de batterie qu'à l'observatoire de toute première ligne, tous deux soumis à des tirs continuels de tous calibres, par son exemple et ses initiatives intelligentes et la précision de ses réglages ».
- « Officier plein d'allant et d'un beau courage. S’est présenté comme volontaire pour aller en liaison auprès d’un bataillon de chasseurs du 28 mai au 1er juin dans le secteur de Dickbusch (Belgique) au moment d'une attaque ennemie. S’est dépensé sans compter avec un mépris complet du danger et a su, grâce à son énergie, fournir de précieux renseignements au commandement méritant l'éloge de l'infanterie. S’est signalé récemment encore au cours de combats sur la montagne de Reims et près de Tahure, donnant, sous de violents bombardements, un bel exemple de sang froid et de cran, en particulier le 23 juillet et le 30 Septembre 1918 ».

Joseph BERNARD-MICHEL termine la guerre avec le grade de capitaine. Il reçoit la Croix de Guerre (en 1917) et la Légion d’Honneur (en décembre 1934).

Après la guerre 14-18, il termine son année de mathématiques spéciales et passe les concours d’entrée aux grandes écoles. Il est reçu à l’école des Mines de Nancy.

A sa sortie de l’école des Mines, Joseph BERNARD-MICHEL se marie avec Isabelle de RAVINEL. Il débute alors sa carrière d’ingénieur au sein de la Maison de WENDEL. En 1937, le couple s’installe dans la maison familiale des BERNARD-MICHEL située à Uckange.


Lors de la seconde guerre mondiale, Joseph BERNARD-MICHEL est appelé au combat en tant que réserviste. A la fin de la guerre, il réintègre son poste d’ingénieur au sein de la Maison de WENDEL. Il y fera toute sa carrière qu’il terminera en tant que directeur du chemin de fer de WENDEL. En 1969, Joseph et Isabelle décident de quitter et de vendre la trop vaste maison familiale d’Uckange. Ils s’installent alors dans un petit appartement situé à Saint-Cloud.


A la fin de sa vie, Joseph BERNARD-MICHEL s’installe dans une résidence nommée « les Hespérides », située dans le 17ème arrondissement de Paris. Il y décède le 5 décembre 1994.


Discours de départ en retraite

Discours de Mr BIGAS, directeur général des usines de Wendel :

"C'est le 3 octobre 1921 que vous débutiez à la Maison, après avoir fait la Grande Guerre de 1915 à 1919 et être sorti dans un bon rang de l'Ecole Nationale Supérieure de la Métallurgie et de l'Industrie des Mines de Nancy. Vous aviez été affecté à l'usine de Saint-Jacques. Dès le début de l'année 1922, vous épousiez Mlle de Ravinel et aviez ainsi choisi la compagne sûre, bien de l'Est et bien de vos idées, avec laquelle vous alliez fonder cette belle famille de 5 enfants qui est la votre.

Quelques mois après, le 1er juin 1922, vous étiez muté aux Chemins de Fer, comme adjoint à Mr Decker et vous y avez fait toute votre carrière chez nous. Le 27 décembre 1937, l'officier de réserve Bernard-Michel fut nommé chevalier de la Légion d'Honneur. Mobilisé à nouveau le 26 août 1939, vous fûtes démobilisé le 4 août 1940. Le 16 janvier 1945, vous repreniez votre service au Chemin de Fer de Wendel - je n'apprendrai rien à personne en disant que le locotracteur prototype de la sidérurgie, issu des travaux d'une commission de la Chambre syndicale, vous doit beaucoup. Cependant, conscient de l'importance du coût des transports dans notre profession, vous vous intéressé particulièrement à la voie d'eau. La canalisation de la Moselle de Thionville vers Metz, créant la liaison avec le réseau fluvial français, vous amène à prendre la direction de Trans-Est et à vous intéresser plus particulièrement au port d'Uckange. Vous avez été un des artisans de la canalisation de la Moselle vers le Rhin et vous avez travaillé à la création du port d'Illange. Vous n'avez pas délaissé pour cela le réseau de Wendel : les locomotives disparaissent, remplacées par des locotracteurs."

Discours de Mr DUPON, successeur en tant que directeur des Chemins de Fer :

"Je suis conduit, cher Mr Bernard-Michel, dut votre modestie bien connue en souffrir, à dire publiquement et en mon nom propre et en celui de tous ceux qui ont été amenés à travailler sous vos ordres, le bien que nous pensons de vous.

Lorsque, en 1955, Mr Descharmes, mon patron d'alors me demanda si j'envisageais de quitter la SNCF pour venir collaborer avec vous aux Chemins de Fer de Wendel, mon hésitation fut de courte durée car je n'ai pas eu l'impression d'un saut dans l'inconnu.

Depuis lors, vous m'avez donné, lors de contacts permanents et confiants qui s'établirent entre nous, de magnifiques leçons qui, j'en suis sûr, porteront leurs fruits : leçon de dévouement sans limite dans l'exécution de votre t^^ache, leçon d'humanité dans toutes les questions touchant le personnel, de munutie lors de la recherche de la solution à un problème, de soin dans la rédaction des comptes rendus, de courage et de fermeté lorsque les circonstances l'exigeaient."

dimanche 6 mai 2012

BERNARD-MICHEL (les 64 quartiers d'Edouard)

Si vous possédez des tableaux, portraits ou informations complémentaires, merci de me contacter à l'adresse e-mail suivante :
bruno.bernard-michel@orange.fr
(Pour accéder à la généalogie complète de 17888 individus, cliquer sur le texte ci-dessus)

GÉNÉRATION I

1) "Edouard" Marie BERNARD-MICHEL, ingénieur HEI, coordonnateur informatique chez Alsthom, fils de "Joseph" Eugène Bernard MICHEL (1897-1994) et Isabelle de RAVINEL (1900-1973), né en 1936.



Il s'est marié le 15 mars 1969 à Château-du-Loir (Sarthe), puis religieusement le surlendemain à Baye (Marne) avec Marie-Josèphe AVRIL, Ingénieur INSA, née en 1943.





GÉNÉRATION II

2) "Joseph" Eugène Bernard MICHEL, ingénieur des Mines de Nancy, directeur du Chemin de fer de  Wendel, croix de guerre 14-18, chevalier de la Légion d'Honneur, fils d'Auguste Bernard MICHEL (1860-1936) et Marie Joséphine Agnès Octavie Claire "Jeanne" SEROT-ALMERAS-LATOUR (1870-1943), né à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 8 août 1897, inhumé à Uckange (Moselle) en 1994, décédé à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 5 décembre 1994.

 

Il s'est marié le 2 janvier 1922 à Metz (Moselle), puis religieusement le lendemain au même endroit avec Isabelle de RAVINEL (1900-1973).

3) Isabelle de RAVINEL, baronne, fille de Marie Gabriel de RAVINEL (1870-1917) et Marie Jeanne CHATILLON (1873-1945), née à Toul (Meurthe-et-Moselle) le 15 septembre 1900, décédée à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 14 octobre 1973, inhumée à Uckange (Moselle).

 




GÉNÉRATION III

4) "Auguste" Bernard MICHEL, président de la Société Lorraine Industrielle, fils de Nicolas Eugène Bernard MICHEL (1824-1907) et Elisabeth PONCELET (1838-1921), né à Uckange (Moselle) le 30 janvier 1860, décédé à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 6 mars 1936, inhumé à Uckange (Moselle).

 

Il s'est marié le 6 juin 1896 à Nancy (Meurthe-et-Moselle) avec Marie Joséphine Agnès Octavie Claire "Jeanne" SEROT-ALMERAS-LATOUR (1870-1943).

5) Marie Joséphine Agnès Octavie Claire "Jeanne" SEROT-ALMERAS-LATOUR, fille de Louis Maurice SEROT-ALMERAS-LATOUR (1837-1894) et Marie Joséphine Claire ALMERAS-LATOUR (1845-1917), née à Genas (Rhône) le 27 juillet 1870, décédée à Nice (Alpes-Maritimes) le 21 février 1943.

 


6) Marie "Gabriel" de RAVINEL, baron, diplômé de l'école de Saint-Cyr, croix de guerre 14-18, chevalier de la Légion d'Honneur, fils d'Edouard Dieudonné de RAVINEL (1824-1874) et Marie Françoise Joséphine NOEL (1832-1896), né à Besançon (Doubs) le 20 juillet 1870, décédé le 12 juillet 1917, inhumé à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle).

 

 Il s'est marié le 26 septembre 1899 à Nancy (Meurthe-et-Moselle) avec Marie Jeanne CHATILLON (1873-1945).

7) Jeanne Marie CHATILLON, fille d'Henri Nicolas II CHATILLON (1843-1912) et Jeanne Alexienne Pauline GILLARD (1852-1919), née à Terville (Moselle) le 3 août 1873, décédée à Rosières-aux-Salines (Meurthe-et-Moselle) le 7 mars 1945, inhumée à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle).




GÉNÉRATION IV

8) Nicolas "Eugène" Bernard MICHEL, gérant de la négoce familiale et des terres avant 1870 -  opte pour la France en 1870 -  président de la Société Lorraine Industrielle à la fin du 19ème siècle, maire d'Uckange de 1865 à 1868, fils de Bernard MICHEL (1787-1855) et Madeleine BECKER (1803-1837), né à Uckange (Moselle) le 22 janvier 1824, décédé à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 22 février 1907, inhumé à Uckange (Moselle). Il était le beau-frère du général de brigade Jean-Pierre DELATTE.

 


Il s'est marié le 10 juin 1856 à Semécourt (Moselle) avec Elisabeth PONCELET (1838-1921).

9) Elisabeth PONCELET, fille de Jean-Pierre Auguste PONCELET (1803-1876) et Marie-Emma MENGIN (1813-1859), née à Semécourt (Moselle) le 5 juin 1838, décédée à Uckange (Moselle) en avril 1921.


10) Louis "Maurice" SEROT-ALMERAS-LATOUR, substitut du procureur, procureur Impérial de Rethel, conseiller à la Cour de Nîmes (1876) et de Nancy (1877), fils de Jean Philippe Edouard SEROT (1804-1878) et Jeanne Agnès Honorine GEISLER (1816-1899), né à Metz (Moselle) le 18 janvier 1837, décédé à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 12 mars 1894, inhumé dans la même localité.

 

Il s'est marié le 22 août 1865 à Metz (Moselle) avec Marie Joséphine Claire ALMERAS-LATOUR (1845-1917).

11) Marie Joséphine "Claire" ALMERAS-LATOUR, baronne, fille de Louis-Michel ALMERAS-LATOUR (1811-1900) et Antoinette Marie Emilie Octavie CHARMEIL (1825-1893), née à Grenoble (Isère) le 25 novembre 1845, décédée à Besançon (Doubs) en février 1917, inhumée à Nancy (Meurthe-et-Moselle).

 


12) "Edouard" Dieudonné de RAVINEL, baron, chef d'escadron de gendarmerie, inspecteur des Tabacs, chevalier de la légion d'honneur, fils de François Dieudonné de RAVINEL (1768-1848) et Félix Charlotte THIBAULT de MENONVILLE (1785-1850), né à Ménil-sur-Belvitte (Vosges) le 8 juin 1824, né à Ménil-sur-Belvitte (Vosges) le 8 juin 1824, décédé à Toulon (Var) le 11 août 1874, inhumé à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle).


Il s'est marié le 8 septembre 1852 à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle) avec "Marie" Françoise Joséphine NOEL (1832-1896).

13) "Marie" Françoise Joséphine NOEL, fille de Félix NOEL (1798-1883) et Charlotte Suzanne GOUBERT (°1811), née à Saint-Mihiel (Meuse) le 21 novembre 1832, décédée à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle) le 20 juin 1896, inhumée dans la même localité.


14) Nicolas Henri II CHATILLON, gérant des terres et vignes familliales, fils d'Antoine-Augustin CHATILLON (1781-1871) et Marie Hortense de LATOUCHE (1808-1890), né à Terville (Moselle) le 15 mai 1843, y décédé le 4 décembre 1912, inhumé dans la même localité.


Il s'est marié le 24 septembre 1872 à Sierck-les-Bains (Moselle) avec Jeanne Alexienne Pauline GILLARD (1852-1919).

15) "Jeanne" Alexienne Pauline GILLARD, fille d'Emmanuel Joseph Auguste GILLARD (°1810) et Catherine Amélie Pauline SERVAIS (°1816), née à Sierck-les-Bains (Moselle) le 14 novembre 1852, décédée en 1919, inhumée à Terville (Moselle).

 




GÉNÉRATION V

16) Bernard MICHEL, conseiller municipal d’Uckange, gérant de la négoce de bois familiale, fils de Bernard MICHEL (1755-1821) et Elisabeth MARX (~ 1762-1790), né à Uckange (Moselle) le 29 juin 1787, y décédé le 20 juin 1855, inhumé dans la même localité.


Il s'est marié le 11 janvier 1820 à Uckange (Moselle) avec Madeleine BECKER (1803-1837).

17) Madeleine BECKER, fille de Jean François BECKER (1770-1829) et Marie Marguerite ORBAN (1777-1837), née à Uckange (Moselle) le 9 décembre 1803, y décédée le 15 novembre 1837.


18) Jean-Pierre "Auguste" PONCELET, propriétaire rentier, maire de Semécourt, fils de Claude II PONCELET (1760-1831) et Catherine Élisabeth SCHUSTER (1770-1822), né à Metz (Moselle) le 25 mai 1803, décédé le 14 août 1876. Il était le demi-frère du général et mathématicien lorrain Jean-Victor PONCELET.


Il s'est marié le 11 octobre 1832 à Strasbourg (Bas-Rhin) avec Marie-Emma MENGIN (1813-1859).

19) Marie-Emma MENGIN, fille d'Emmanuel MENGIN (1781-1821) et Julie POLTI (°an II), née à Strasbourg (Bas-Rhin) le 7 août 1813, décédée le 14 mars 1859.


20) Jean Philippe "Edouard" SEROT, avocat, président de Chambre de Metz puis Paris, chevalier puis officier le la Légion d'Honneur, fils de Pierre Philippe Marie SEROT (1769-1837) et Marie-Catherine Victoire MATHIEU (1779-1849), né le 5 janvier 1804, décédé à Paris (Paris) le 9 avril 1878, inhumé à Metz (Moselle).


Il s'est marié le 25 avril 1836 à Metz (Moselle) avec Jeanne Agnès Honorine GEISLER (1816-1899).

21) Jeanne Agnès Honorine GEISLER, fille de Jean Nicolas Albin GEISLER (1787-1826) et Clémentine ROUYER (1794-1864), née à Metz (Moselle) le 27 juillet 1816, décédée le 4 avril 1899.

22) Louis-Michel ALMERAS-LATOUR, baron, avocat, premier président de la Cour d'Appel de Metz, chevalier puis officier de la Légion d'Honneur, fils de Joseph Gabriel ALMERAS-LATOUR (1781-1846) et "Marie-Antoinette" Sophie SAIN (1787-1849), né à Vienne (Isère) le 19 août 1811, décédé à Tullins (Isère) le 17 janvier 1900.

 


Il s'est marié le 25 septembre 1844 à Grenoble (Isère) avec Antoinette Marie Emilie Octavie CHARMEIL (1825-1893).

23) Antoinette Marie Emilie "Octavie" CHARMEIL, fille d'Etienne-Augustin CHARMEIL (1798-1885) et Rosalie Joséphine FAURE (an IV-1891), née à Grenoble (Isère) le 3 février 1825, décédée à Tullins (Isère) le 3 juin 1893.


24) "François" Dieudonné de RAVINEL, capitaine dans le régiment de l'Archiduc François-Joseph, député des vosges sous le règne de Charles X, baron du Saint-Empire, chevalier de Saint Louis, chevalier de la Légion d'Honneur, fils d'Etienne-François de RAVINEL (1733-1800) et Marie-Anne de L'ISLE (1736-1819), né à Bayon (Meurthe-et-Moselle) le 4 juin 1768, décédé à Nossoncourt (Vosges) le 20 mai 1848. Il était le frère du bienheureux Antoine de RAVINEL, diacre et martyr en 1792.

 

Il s'est marié le 9 juillet 1805 à Villé (Vosges) avec Félix Charlotte THIBAULT de MENONVILLE (1785-1850).

25) Félix "Charlotte" THIBAULT de MENONVILLE, fille de Louis-Antoine THIBAULT de MENONVILLE (1738-1823) et Charlotte Hélène Félix de PARDIEU (1761-1810), née à Nossoncourt (Vosges) le 2 mai 1785, y décédée le 6 juillet 1850.

 

26) Félix NOEL, maire de la commune de Sommerviller, chevalier de la Légion d'Honneur, fils de Joseph Louis Gabriel NOEL (1770-1850) et Charlotte Suzanne Louise de VISMES d'AUBIGNY (1763-1847), né à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle) le 13 mai 1798, décédé en 1883.



Il s'est marié le 25 octobre 1831 à Saint-Mihiel (Meuse) avec Charlotte Suzanne GOUBERT (°1811).

27) "Charlotte" Suzanne GOUBERT, fille d'Adrien GOUBERT (1753-1818) et Françoise BERTIN (1777-1853), née à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle) le 19 janvier 1811.


28) Antoine-Augustin CHATILLON, vérificateur de la douane à Belfort puis receveur aux déclarations des douanes à Sierck, fils d'Henri Nicolas I CHATILLON (1754-1841) et Marie Anne MENGIN, né à Étain (Meuse) le 21 décembre 1781, décédé à Terville (Moselle) le 17 novembre 1871, inhumé dans la même localité. Il était le cousin germain du général et baron d'Empire François-Louis MENGIN.


Il s'est marié le 24 février 1835 à Terville (Moselle) avec Marie Hortense de LATOUCHE (1808-1890).

29) Marie Hortense de LATOUCHE, fille de Charles de LATOUCHE (1775-1837) et Marthe-Philippine de SAINT-BLAISE (1780-1832), née à Terville (Moselle) le 25 novembre 1808, y décédée le 4 mai 1890, inhumée dans la même localité.


30) Emmanuel Joseph Auguste GILLARD, maire et officier de l'Etat Civil de la commune de Sierck, chevalier de la Légion d'Honneur, fils de Lambert Nicolas Joseph GILLARD (1772-1829) et Catherine SERVAIS (1786-1831), né à Sierck-les-Bains (Moselle) le 20 mars 1810.


Il s'est marié le 16 juillet 1838 à Mersch avec Catherine Amélie Pauline SERVAIS (°1816).

31) Catherine Amélie Pauline SERVAIS, fille d'Emmanuel Jean Antoine SERVAIS (°1778) et Anne Marie RICHARD (1780-1865), née à Mersch le 8 novembre 1816. Elle était la soeur du président du gouvernement du Luxembourg Emmanuel SERVAIS.




GÉNÉRATION VI

32) Bernard MICHEL, maire d’Uckange (1795-1806), négociant en bois, fils de François MICHEL (1719-1762) et Marie NICOLAS (1723-1802), né à Uckange (Moselle) le 5 février 1755, y décédé le 16 août 1821.


Il s'est marié le 23 novembre 1784 à Rurange-lès-Thionville (Moselle) avec Elisabeth MARX (~ 1762-1790).

33) Elisabeth MARX, fille de Martin MARX (1727-1793) et Elisabeth NICOLAS (°1726), née vers 1762, décédée à Uckange (Moselle) le 21 septembre 1790.


34) Jean François BECKER, cultivateur, maire d’Uckange de 1806 à 1816, fils de Jean BECKER et Suzanne FRIREN (°1751), né à Uckange (Moselle) le 7 octobre 1770, y décédé le 20 juillet 1829.
Il s'est marié le 19 novembre 1796 à Uckange (Moselle) avec Marie Marguerite ORBAN (1777-1837).



35) Marie "Marguerite" ORBAN, fille de Jean-Louis ORBAN (°1747) et Marie-Ursule BOCQUET (~ 1754-1787), née à Uckange (Moselle) le 30 mars 1777, y décédée le 15 novembre 1837.



36) Claude II PONCELET, fils de David PONCELET (1721-1763) et Marie TOUSSAINT (1725-1802), né à Metz (Moselle) le 4 février 1760, y décédé le 30 septembre 1831.



Il s'est marié religieusement le 1er vendémiaire an IV à Strasbourg (Bas-Rhin) avec Catherine Élisabeth SCHUSTER (1770-1822). Claude II s'est marié une seconde fois le 22 décembre 1825 à Metz (Moselle) avec Anne Marie PERREIN, née à Grosbliederstroff (Moselle) le 6 décembre 1754, décédée le 10 août 1832.

37) Catherine Élisabeth SCHUSTER, fille d'Antoine SCHUSTER et Élisabeth RIGAU, née à Strasbourg (Bas-Rhin) le 1er décembre 1770, décédée à Metz (Moselle) le 31 décembre 1822.


38) Emmanuel MENGIN, lieutenant, avocat, juge au tribunal ordinaire des douanes de Strasbourg, fils de Nicolas Antoine Michel MENGIN (1748-1827) et Anne Marie Thérèse THIRY (°1757), né à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) le 14 mars 1781, décédé à Saverne (Bas-Rhin) le 13 juin 1821.


Il s'est marié le 22 mai 1811 à Strasbourg (Bas-Rhin) avec Julie POLTI (°an II).

39) Julie POLTI, fille de Louis Antoine POLTI (1768-1827) et Marie Anne MOMY (1764-1826), née à Strasbourg (Bas-Rhin) le 26 floréal an II.
Julie s'est mariée une seconde fois le 14 juillet 1824 à Strasbourg (Bas-Rhin) avec Bernard VALLÉE, propriétaire.


40) Pierre Philippe Marie SEROT, officier d'artillerie, démissionna et exerça la profession de vérificateur des poids et mesures, fils de François-Joseph II SEROT (1723-1799) et Marguerite CANONIER (1743-1827), né à Novéant-sur-Moselle (Moselle) le 17 octobre 1769, décédé à Contrexéville (Vosges) le 3 août 1837.

 

Il s'est marié le 11 janvier 1803 à Metz (Moselle) avec Marie-Catherine Victoire MATHIEU (1779-1849).

41) Marie-Catherine Victoire MATHIEU, fille de Jean MATHIEU (°1736) et Anne Marie Gabrielle BOICHEGRAIN (°~ 1754), née à Metz (Moselle) le 10 février 1779, décédée à Ancy-sur-Moselle (Moselle) le 25 octobre 1849.

42) Jean Nicolas Albin GEISLER, entrepreneur des fortifications, fils de Jean Baptiste Nicolas GEISLER (†1812) et Agnès Geneviève HENNEQUIN (1766-1826), né à Metz (Moselle) le 3 avril 1787, décédé à Féy (Moselle) le 4 juillet 1826.


Il s'est marié le 28 décembre 1814 à Metz (Moselle) avec Clémentine ROUYER (1794-1864).

43) Clémentine ROUYER, fille de Louis Dominique Christophe ROUYER (1762-1828) et Catherine Cécile JAUNEZ (1768-1824), née à Metz (Moselle) le 7 octobre 1794, y décédée le 17 décembre 1864. Elle était la cousine germaine d' Edouard JAUNEZ, maire de Metz de 1850 à 1854.


44) Joseph Gabriel ALMERAS-LATOUR, jurisconsulte, doyen des avocats de Vienne, fils de François Joseph ALMERAS de LA TOUR (1742-1794) et Anne Marie BENOIT (1741-1836), né à Vienne (Isère) le 9 mars 1781, y décédé le 26 février 1846. Il était le cousin germain du général baron d'Empire Louis ALMERAS.

 

Il s'est marié le 11 octobre 1804 à Vienne (Isère) avec "Marie-Antoinette" Sophie SAIN (1787-1849).

45) Marie-Antoinette Sophie SAIN, fille de Claude "Jean Marie" SAIN (1760-1826) et Jeanne MELLIER (~ 1754-1800), née à Mornant (Rhône) le 19 avril 1787, reçue au baptême dans la même localité le 22 avril 1787, décédée à Vienne (Isère) le 4 juin 1849. Elle était la demi-soeur de Camille SAIN, décorateur et dessinateur, et de Prosper SAIN d'ARDO, compositeur.



46) Etienne-Augustin CHARMEIL, président de Chambre honoraire à la Cour d'Appel de Grenoble,  chevalier de la Légion d'Honneur, fils de Jacques Antoine CHARMEIL (1763-1839) et Françoise MONTERRAD (°1772), né à Tullins (Isère) le 3 mars 1798, y décédé le 28 janvier 1885. Il était le cousin germain d'Amédée MONTERRAD, important industriel lyonnais.


Il s'est marié le 19 février 1824 à Grenoble (Isère) avec Rosalie Joséphine FAURE (an IV-1891).

47) Rosalie Joséphine FAURE, fille de Joseph II FAURE (1764-1836) et Catherine Brigitte Emilie ROLLAND (†1849), née à Grenoble (Isère) le 27 ventôse an IV, décédée à Tullins (Isère) le 25 avril 1891.


48) Etienne-François de RAVINEL, capitaine de cavalerie au régiment de cuirassier de S.A.R le grand duc de Toscanne, baron du Saint-Empire, fils d'Hubert Dieudonné de RAVINEL (1711-1792) et Anne Marie de MAILLART de VILLACOURT (1711-1785), né à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 23 décembre 1733, y décédé le 9 janvier 1800.

 

Il s'est marié le 15 avril 1766 à Brainville-sur-Meuse (Haute-Marne) avec Marie-Anne de L'ISLE (1736-1819).

49) Marie-Anne de L'ISLE, dame de Malincourt, fille de Jean-Baptiste de L'ISLE (1692-1774) et Marie-Anne de LANDRIAN (1710-1747), née à Brainville-sur-Meuse (Haute-Marne) le 5 avril 1736, décédée à Nossoncourt (Vosges) le 3 janvier 1819.


50) Louis-Antoine THIBAULT de MENONVILLE, lieutenant colonel d'infanterie, chevalier de Saint-Louis, chevalier de Cincinnati, fils de François Louis THIBAULT de MENONVILLE (1690-1751) et Marie Anne BAZELAIRE de LESSEUX (1713-1775), né à Nossoncourt (Vosges) le 14 mars 1738, y décédé le 7 août 1823. Il était le frère de François-Louis TIBAULT de MENONVILLE, compagnon de LA FAYETTE.


Il s'est marié religieusement le 17 juillet 1781 à Fort-Dauphin avec Charlotte Hélène Félix de PARDIEU (1761-1810).

51) Charlotte Hélène Félix de PARDIEU, comtesse de Pardieu, fille de Charles de PARDIEU (†1772) et Anne Madeleine Félix le VEYRIER (°1741), née à Fort-Dauphin le 19 février 1761, décédée à Nossoncourt (Vosges) le 26 juin 1810.


52) Joseph Louis Gabriel NOEL, maire de Sommerviller, lieutenant au 4ème régiment de dragons, chevalier de la Légion d'Honneur, fils de Laurent NOEL (~ 1729-1813) et Marie "Reine" CONTE (1729-1810), né à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 27 mai 1770, décédé à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle) le 8 août 1850. Il était le fils adoptif d'Elisabeth DURIVAL.


Il s'est marié le 2 mars 1797 à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle) avec Charlotte Suzanne Louise de VISMES d'AUBIGNY (1763-1847).

53) "Charlotte" Suzanne Louise de VISMES d'AUBIGNY, fille de Charles François de VISMES d'AUBIGNY et Jeanne Sophie PERRINET d'ORVAL (†1783), née à Dieuze (Moselle) le 19 février 1763, décédée à Sommerviller (Meurthe-et-Moselle) le 11 mars 1847. Elle était la fille adoptive d'Elisabeth DURIVAL.


54) Adrien GOUBERT, inspecteur général des poudres et salpètre, fils de Claude GOUBERT (1711-1781) et Lucie BON (~ 1715-1799), né à Apremont-la-Forêt (Meuse) le 20 avril 1753, décédé à Saint-Mihiel (Meuse) le 13 août 1818.


Il s'est marié le 20 ventôse an VIII à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle) avec Françoise BERTIN (1777-1853).

55) Françoise BERTIN, fille de François Nicolas BERTIN (°1746) et Marie Anne SPONVILLE (1744-1815), née à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle) le 25 septembre 1777, décédée à Apremont-la-Forêt (Meuse) le 17 janvier 1853.

56) Henri Nicolas I CHATILLON, avocat en parlement exerçant au bailliage d'Etain, maire de Vigneulles, lieutenant particulier au bailliage d'Etain, fils de Jean Nicolas CHATILLON (1725-1795) et Marguerite ADAM (~ 1722-1794), né à Étain (Meuse) le 27 août 1754, décédé à Vigneulles-lès-Hattonchâtel (Meuse) le 23 février 1841.


Il s'est marié religieusement le 5 août 1777 à Étain (Meuse) avec Marie Anne MENGIN .

57) Marie Anne MENGIN, fille de Nicolas MENGIN (1715-1777) et Anne Marie LOUIS.


58) Charles de LATOUCHE, maire de Terville, fils de Jean Baptiste de LATOUCHE (1731-1791) et Marie-Marguerite MENGIN (°1750), baptisé à Florange (Moselle) le 17 septembre 1775, décédé à Terville (Moselle) le 9 août 1837, inhumé dans la même localité. Il était le cousin germain du général et baron d'Empire François-Louis MENGIN.


Il s'est marié le 5 octobre 1802 à Terville (Moselle) avec Marie Jeanne FRINGAN, décédée à une date inconnue. Charles s'est marié une seconde fois le 4 novembre 1807 à Thionville (Moselle) avec Marthe-Philippine de SAINT-BLAISE (1780-1832).

59) Marthe-Philippine de SAINT-BLAISE, fille de Jean-François-Louis de SAINT-BLAISE (°1739) et Louise-Hyacinthe-Suzanne de LEURY DU PROY (1749-1822), née à Metz (Moselle) le 24 septembre 1780, décédée à Terville (Moselle) le 26 juin 1832, inhumée dans la même localité.


60) Lambert Nicolas Joseph GILLARD, négociant tanneur, fils de Lambert Joseph GILLARD (1734-1798) et Marie Anne Joséphine DUMONT (1735-1804), né à Stavelot (Liège) le 2 octobre 1772, décédé à Sierck-les-Bains (Moselle) le 7 janvier 1829.
Il s'est marié en 1807 avec Catherine SERVAIS (1786-1831).


61) Catherine SERVAIS, fille de Philippe SERVAIS (1738-1801) et Anne Marguerite LACROIX (°1747), née à Udingen le 8 novembre 1786, décédée à Sierck-les-Bains (Moselle) le 30 septembre 1831.

62) Emmanuel Jean Antoine SERVAIS, bourgmestre de Mersch, fils de Philippe SERVAIS (1738-1801) et Anne Marguerite LACROIX (°1747), né à Udingen le 25 décembre 1778.


Il s'est marié le 10 février 1808 avec Anne Marie RICHARD (1780-1865).

63) Anne Marie RICHARD, fille de Jean Gilles RICHARD (1745-1819) et Anne Marie FABER (1753-1842), née le 28 octobre 1780, décédée en 1865.





GÉNÉRATION VII

64) François MICHEL, aubergiste et marchand de planches à Uckange, fils de Jean MICHEL (°1682) et Catherine LENOIR (°1691), né à Clouange (Moselle) le 26 janvier 1719, décédé à Uckange (Moselle) le 29 octobre 1762. Généalogie ascendante de François MICHEL.


Il s'est marié le 15 juin 1751 à Uckange (Moselle) avec Marie NICOLAS (1723-1802).

65) Marie NICOLAS, fille de François NICOLAS (1691-1731) et Catherine MATHIS (1693-1777), née à Uckange (Moselle) le 27 décembre 1723, y décédée le 22 février 1802. Généalogie ascendante de Marie NICOLAS.

Marie s'est mariée une seconde fois religieusement le 31 mai 1763 à Uckange (Moselle) avec Bernard POULMAIRE, décédé à Uckange (Moselle) le 22 juin 1763.


66) Martin MARX, laboureur, maire de Kanfen, fils de Jean MARX (1688-1768) et Marguerite KREMER (1701-1768), né à Kanfen (Moselle) le 21 février 1727, décédé en 1793. Il s'est marié le 11 février 1749 à Rurange-lès-Thionville (Moselle) avec Elisabeth NICOLAS (°1726). Généalogie ascendante de Martin MARX.

67) Elisabeth NICOLAS, fille de Nicolas NICOLAS (1701-1784) et Magdeleine PRINTZ (1701-1764), née en 1726. Généalogie ascendante d'Elisabeth NICOLAS.


68) Jean BECKER, maire d'Uckange de 1789 à 1791, tailleur d'habit puis aubergiste “A la Croix d’Or”, fils de Nicolas II BECKER (1711-1782) et Catherine ARCHEN (1700-1760). Généalogie ascendante de Jean BECKER.


Il s'est marié religieusement le 24 octobre 1769 à Uckange (Moselle) avec Suzanne FRIREN (°1751).

69) Suzanne FRIREN, fille de Gabriel FRIREN (†1781) et Marie Catherine MARCHAL, née à Uckange (Moselle) le 29 mars 1751. Généalogie ascendante de Suzanne FRIREN.


70) Jean-Louis ORBAN, échevin de l’Eglise d’Uckange (1781), fils de Balthazar ORBAN (°1716) et Marguerite CHOTIN (°1716), né à Crusnes (Meurthe-et-Moselle) le 28 mai 1747. Généalogie ascendante de Jean-Louis ORBAN.


Il s'est marié le 11 janvier 1774 à Uckange (Moselle) avec Marie-Ursule BOCQUET (~ 1754-1787).

71) Marie-Ursule BOCQUET, fille de Jean-François BOCQUET et Suzanne FRIREN (°1731), née vers 1754, décédée à Uckange (Moselle) le 3 juillet 1787.


72) David PONCELET, rentier, fils de Claude I PONCELET (~ 1690-1773) et Anne BOUCHER (°1696), né à Metz (Moselle) en 1721, y décédé le 6 novembre 1763. Généalogie ascendante de David PONCELET.


Il s'est marié le 21 avril 1759 à Metz (Moselle) avec Marie TOUSSAINT (1725-1802).

73) Marie TOUSSAINT, fille de Jean TOUSSAINT et Marie Françoise HUGO, née en 1725, décédée à Metz (Moselle) le 27 octobre 1802. Généalogie ascendante de Marie TOUSSAINT.

 
74) Antoine SCHUSTER, employé aux transports et convois militaires, fils de Michel SCHUSTER et Anne Marie HUMMEL.


Il s'est marié religieusement le 16 janvier 1770 à Strasbourg (Bas-Rhin) avec Élisabeth RIGAU .

75) Élisabeth RIGAU, fille de Jean RIGAUD et Catherine DUBOIS.



76) Nicolas Antoine Michel MENGIN, chevalier de l'Empire, avocat à la Cour exerçant au bailliage de Lunéville, grand prévôt de la Cour des Douanes de Nancy, membre du College Electoral du département de la Meurthe, maire de Nancy, fils de Nicolas Christophe MENGIN (1722-1766) et Thérèse Ursule BAINVILLE (°1716), né à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) le 29 septembre 1748, décédé à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 7 décembre 1827. Généalogie ascendante de Nicolas Antoine Michel MENGIN.


Il s'est marié le 25 avril 1780 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) avec Anne Marie Thérèse THIRY (°1757).

77) Anne Marie Thérèse THIRY, fille de Jean Antoine THIRY (°1731) et Anne Catherine GOUVENOUX (1729-1815), née à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) le 27 décembre 1757. Elle était la cousine germaine de Claude-Ambroise REGNIER, duc de Massa, grand juge et ministre de la justice sous le premier Empire. Généalogie ascendante d'Anne-Marie-Thérèse THIRY.


78) Louis Antoine POLTI, négociant, fils de Jean Joseph POLTI (†entre 1784 et 1787) et Marie Salomée de CHRISTÉ (~ 1740-1793), né à Strasbourg (Bas-Rhin) le 26 mars 1768, y décédé le 27 avril 1827. Acquisition à Odratzheim (Bas-Rhin) : Il acheta le château d’Odratzheim à madame de BOISTEL. Généalogie ascendante de Louis-Antoine POLTI.


Il s'est marié religieusement le 31 janvier 1792 à Strasbourg (Bas-Rhin) avec Marie Anne MOMY (1764-1826).

79) Marie Anne MOMY, fille de François Joseph MOMY (1733-1814) et Marguerite SCHREIBER (1739-1809), née à Strasbourg (Bas-Rhin) le 28 mai 1764, y décédée le 11 août 1826. Elle était la soeur de Jacques-Joseph MOMY, doyen des avocats et adjoint au maire de Strasbourg. Généalogie ascendante de Marie-Anne MOMY.


80) François-Joseph II SEROT, rentier à Novéant, fils de François-Joseph I SEROT (1697-1768) et Marie Claire Dorothée SOUVINY (°1697), né à Bazailles (Meurthe-et-Moselle) le 27 mai 1723, décédé à Metz (Moselle) le 3 juillet 1799. Généalogie ascendante de François-Joseph II SEROT.


Il s'est marié le 3 février 1762 à Paris (Paris) avec Marie-Christine HEISTERT. François-Joseph II s'est marié une seconde fois le 8 septembre 1767 à Metz (Moselle) avec Marguerite CANONIER (1743-1827).

81) Marguerite CANONIER, fille de Jean CANONIER et Gabrielle HENRION, née à Longwy (Meurthe-et-Moselle) le 17 février 1743, décédée à Novéant-sur-Moselle (Moselle) le 17 novembre 1827. Marguerite s'est unie une seconde fois avec Jean-Baptiste DEZERRE, décédé en 1808. Généalogie ascendante de Marguerite CANONIER.


82) Jean MATHIEU, garde général des magasins militaires de Metz, secrétaire de Mr Potier d'Ennery, intéressé dans les affaires du roi, fils de Nicolas II MATHIEU (°~ 1709) et Marie le LORRAIN (°1713), né en 1736.


Il s'est marié religieusement le 18 juillet 1758 à Metz (Moselle) avec Marie Catherine FLEURDELYS. Jean s'est marié une seconde fois religieusement le 12 mai 1778 à Metz (Moselle) avec Anne Marie Gabrielle BOICHEGRAIN (°~ 1754).

83) Anne Marie Gabrielle BOICHEGRAIN, fille de Christophe BOICHEGRAIN (°1715) et Marie "Catherine" Victoire MAILLARD (†1788), née vers 1754. Généalogie ascendante d'Anne-Marie-Gabrielle BOICHEGRAIN.


84) Jean Baptiste Nicolas GEISLER, entrepreneur de travaux publics, fils de Nicolas GEISLER (†1792) et Marthe Barbe AUBEURTIN (°1734), décédé à Metz (Moselle) le 27 février 1812. Généalogie ascendante de Jean-Baptiste-Nicolas GEISLER.


Il s'est marié religieusement le 13 juin 1786 à Manom (Moselle) avec Agnès Geneviève HENNEQUIN (1766-1826).

85) Agnès Geneviève HENNEQUIN, fille de Jean Nicolas HENNEQUIN et Marie Catherine NIESSER (°~ 1731), née en 1766, décédée le 22 juin 1826. Généalogie ascendante d'Agnès Geneviève HENNEQUIN.

86) Louis Dominique Christophe ROUYER, sous inspecteur des eaux et forêts, fils de Dominique Christophe ROUYER (1728-1793) et Marie-Anne REMY (1731-1793), né à Metz (Moselle) le 1er septembre 1762, y décédé le 26 décembre 1828.


Il s'est marié le 7 octobre 1793 à Metz (Moselle) avec Catherine Cécile JAUNEZ (1768-1824). Généalogie ascendante de Louis-Dominique-Christophe ROUYER.


87) Catherine Cécile JAUNEZ, fille de Pierre II JAUNEZ (†1778) et Jeanne HOLARD (~ 1716-1802), née à Metz (Moselle) le 30 mai 1768, décédée le 1er août 1824. Généalogie ascendante de Catherine Cécile JAUNEZ.


88) François Joseph ALMERAS de LA TOUR, avocat en parlement, premier échevin de Vienne, fils de Joseph Marie ALMÉRAS (1700-1776) et Anne TREYNARD (1707-1792), né à Vienne (Isère) le 13 janvier 1742, y décédé le 5 novembre 1794. Généalogie ascendante de François-Joseph ALMERAS-LATOUR.


Il s'est marié religieusement le 18 octobre 1774 à Vienne (Isère) avec Anne Marie BENOIT (1741-1836).

89) Anne Marie BENOIT, fille de Bach BENOIT (1711-1775) et Gabrielle TABARET (†1770), née à Vienne (Isère) le 27 janvier 1741, décédée à Chuzelles (Isère) le 13 septembre 1836. Généalogie ascendante d'Anne-Marie BENOIT.


90) Claude "Jean Marie" SAIN, officier de santé, chirurgien militaire, puis médecin de l'hospice de Vienne, fils de Claude Antoine SAIN et Magdeleine-Fleurie d'AROD, né au Bois-d'Oingt (Rhône) le 29 juillet 1760, décédé à Vienne (Isère) le 28 février 1826. Généalogie ascendante de Jean-Marie SAIN.


Il s'est marié religieusement le 25 janvier 1785 à Mornant (Rhône) avec Jeanne MELLIER (~ 1754-1800). Claude "Jean Marie" s'est marié une seconde fois le 4 décembre 1801 à Vienne (Isère) avec Marguerite Césarine ALMERAS-LATOUR, fille de François Joseph ALMERAS de LA TOUR (1742-1794), avocat en Parlement, premier échevin de Vienne et Anne Marie BENOIT (1741-1836), née à Vienne (Isère) le 6 mars 1776, y décédée le 27 décembre 1837.

91) Jeanne MELLIER, fille de Joseph MELLIER (°1711) et Marguerite DODAT, née à Condrieu (Rhône) vers 1754, décédée à Mornant (Rhône) le 5 août 1800. Généalogie ascendante de Jeanne MELLIER.

92) Jacques Antoine CHARMEIL, notaire royal, maire de Tullins de février 1820 à septembre 1830, fils de Jacques CHARMEIL (1730-1763) et Jeanne LAURENS, né à Tullins (Isère) le 15 mai 1763, décédé le 5 octobre 1839. Généalogie ascendante de Jacques-Antoine CHARMEIL.



Il s'est marié le 23 avril 1793 à Lyon (Rhône) avec Françoise MONTERRAD (°1772).

93) Françoise MONTERRAD, fille de Joseph MONTERRAD (1733-1801) et Antoinette de SAINT-MICHEL (1743-1819), née à Lyon (Rhône) le 2 janvier 1772. Généalogie ascendante de Françoise MONTERRAD.


94) Joseph II FAURE, homme de loi, député de l'Isère, conseiller à la Cour de Grenoble, fils de Joseph I FAURE (°1725) et Françoise COUTURIER, né à Saint-Pierre-de-Bressieux (Isère) le 11 juin 1764, reçu au baptême dans la même localité le 12 juillet 1764, décédé à Grenoble (Isère) le 24 décembre 1836. Généalogie ascendante de Joseph II FAURE.


Il s'est marié religieusement le 14 décembre 1790 à Bressieux (Isère) avec Catherine Brigitte Emilie ROLLAND (†1849).

95) Catherine Brigitte Emilie ROLLAND, fille de Jean ROLLAND (1720-1794) et Marie Emmerentianne AMAT (1727-1796), décédée à Grenoble (Isère) le 30 avril 1849. Généalogie ascendante de Catherine-Brigitte-Emilie ROLLAND.



96) Hubert Dieudonné de RAVINEL, avocat à la Cour Souveraine de Lorraine, baron du Saint-Empire, fils de Remy de RAVINEL (1666-1728) et Anne Françoise de L'ESPEE (1666-1737), né à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 14 janvier 1711, y décédé le 12 mars 1792. Il était le frère du chanoine François-Rémi de RAVINEL, chanoine de la Primatiale de Nancy. Généalogie ascendante d'Hubert-Dieudonné de RAVINEL.


Il s'est marié le 7 janvier 1733 à Nancy (Meurthe-et-Moselle) avec Anne Marie de MAILLART de VILLACOURT (1711-1785). Le couple s'était fiancé le 3 janvier 1733 à Nancy (Meurthe-et-Moselle).

97) Anne Marie de MAILLART de VILLACOURT, fille d'Étienne Henry de MAILLART (°1683) et Marie-Anne FISSON DU MONTET, née à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 13 octobre 1711, y décédée le 3 décembre 1785. Généalogie ascendante de Anne Marie de MAILLART.


98) Jean-Baptiste de L'ISLE, brigadier de la compagnie des cadets-gentilshommes du duc Léopold, capitaine au régiment de Ligneville, seigneur des fiefs de St Germain et de la maison forte de Brainville et Hacourt, écuyer, fils de Claude Joseph de L'ISLE (1662-1721) et Barbe MOREL (1652-1722), né à Brainville-sur-Meuse (Haute-Marne) le 7 janvier 1692, décédé le 21 décembre 1774. Généalogie ascendante de Jean-Baptiste de L'ISLE.


Il s'est marié religieusement le 6 novembre 1731 à Bourmont (Haute-Marne) avec Marie-Anne de LANDRIAN (1710-1747).

99) Marie-Anne de LANDRIAN, fille d'Errard de LANDRIAN (1684-1748) et Marie Anne de L'ISLE (1676-1738), née à Bourmont (Haute-Marne) le 26 août 1710, décédée à Brainville-sur-Meuse (Haute-Marne) le 31 décembre 1747. Elle était la cousine germaine de Jean-Baptiste-Nicolas de L'ISLE, poète lorrain du 18ème siècle. Généalogie ascendante de Marie-Anne de LANDRIAN.


100) François Louis THIBAULT de MENONVILLE, seigneur de Villé, lieutenant au régiment de Navarre, grand prévot de Saint-Dié, écuyer, fils de Louis THIBAULT de MENONVILLE (~ 1647-1708) et Anne Marguerite HUYN (1659-1738), né à Vic-sur-Seille (Moselle) le 5 octobre 1690, décédé en 1751. Généalogie ascendante de François-Louis THIBAULT de MENONVILLE.


Il s'est marié religieusement le 7 février 1736 à Saint-Dié (Vosges) avec Marie Anne BAZELAIRE de LESSEUX (1713-1775).

101) Marie Anne BAZELAIRE de LESSEUX, fille de Charles Joseph BAZELAIRE de LESSEUX (1684-1717) et Anne Thérèse d'ANDLAU (1687-1775), née à Saint-Dié (Vosges) le 9 septembre 1713, décédée en 1775. Généalogie ascendante de Marie-Anne BAZELAIRE de LESSEUX.


 102) Charles de PARDIEU, commandant pour le roi au Petit Goave, île de St Domingue, chevalier, chevalier de Saint-Louis, fils de François II de PARDIEU (1678-1720) et Anne Catherine du MILLOT, décédé le 2 août 1772. Généalogie ascendante de Charles de PARDIEU.



Il s'est marié religieusement le 19 mars 1755 à Fort-Dauphin avec Anne Madeleine Félix le VEYRIER (°1741).

103) Anne Madeleine Félix le VEYRIER, fille d'Alexis le VEYRIER (1692-1755) et Jeanne Félix HURVOIS (°1715), née à Fort-Dauphin en 1741. Généalogie ascendante d'Anne-Madeleine-Félix LE VEYRIER.

104) Laurent NOEL, receveur de la seigneurie d'Ubexy, fils de Joseph NOEL et Catherine le VERD (1706-1776), né vers 1729, décédé à Ubexy (Vosges) le 16 décembre 1813. Généalogie ascendante de Laurent NOEL.


Il s'est marié religieusement le 12 juillet 1769 à Ubexy (Vosges) avec Marie "Reine" CONTE (1729-1810). Le couple s'était fiancé le 11 juillet 1769 à Ubexy (Vosges). 

105) Marie "Reine" CONTE, femme de chambre de Mme Renault d'Ubexy, fille de Nicolas II CONTE (°1689) et Marie JACQUOT (~ 1690-1733), née en 1729, décédée à Ubexy (Vosges) le 4 mars 1810. Généalogie ascendante de Marie-Reine CONTE.


106) Charles François de VISMES d'AUBIGNY, inspecteur général de la conduite des sels de France, fils de Pierre de VISMES (°1671) et Marguerite MASSÉ. Généalogie ascendante de Charles François de VISMES d'AUBIGNY.


Il s'est marié le 14 août 1753 à Paris (Paris) avec Jeanne Sophie PERRINET d'ORVAL (†1783).

107) Jeanne Sophie PERRINET d'ORVAL, fille de Jean Charles PERRINET d'ORVAL (°1707) et Anne RENOUARD de BUSSIERE (†1761), décédée à Sancerre (Cher) le 6 mars 1783. Généalogie ascendante de Jeanne Sophie PERRINET d'ORVAL.


108) Claude GOUBERT, fermier du roi, contrôleur, propriétaire à Apremont, sieur, fils de Joseph GOUBERT et Barbe LETIXERANT (†1756), né à Vadonville (Meuse) le 26 février 1711, décédé à Apremont-la-Forêt (Meuse) le 21 septembre 1781. Généalogie ascendante de Claude GOUBERT.

Il s'est uni avec Lucie BON (~ 1715-1799).

109) Lucie BON, née vers 1715, décédée à Apremont-la-Forêt (Meuse) le 22 septembre 1799.


110) François Nicolas BERTIN, sieur, fils de Nicolas BERTIN (~ 1716-1761) et Barbe LABRIET (1703-1776), né à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle) le 4 octobre 1746. Généalogie ascendante de François Nicolas BERTIN.

Il s'est marié religieusement le 6 février 1769 à Chambley-Bussières (Meurthe-et-Moselle) avec Marie Anne SPONVILLE (1744-1815).

111) Marie Anne SPONVILLE, fille de Joseph SPONVILLE (1705-1766) et Anne Marie DAUTECOURT (1709-1775), née à Jarny (Meurthe-et-Moselle) le 20 octobre 1744, décédée à Mars-la-Tour (Meurthe-et-Moselle) le 5 mai 1815. Généalogie ascendante de Marie Anne SPONVILLE.


112) Jean Nicolas CHATILLON, avocat à la Cour, lieutenant particulier au bailliage d'Etain, fils d'Henry CHATILLON (1692-1760) et Anne ARNOULD (°1686), né à Étain (Meuse) le 14 mai 1725, y décédé le 30 janvier 1795. Généalogie ascendante de Jean Nicolas CHATILLON.


Il s'est uni avec Marguerite ADAM (~ 1722-1794).Géné

113) Marguerite ADAM, fille d'Antoine ADAM et Ursule FOLIOT, née vers 1722, décédée à Étain (Meuse) le 31 juillet 1794.



114) Nicolas MENGIN, conseiller en la maitrise des Eaux et Forets d’Etain, procureur, fils de Jean MENGIN (†1733) et Barbe LHOSTE (†1743), né en 1715, décédé à Étain (Meuse) le 20 février 1777. Il s'est uni avec Anne Marie LOUIS. Généalogie ascendante de Nicolas MENGIN.

115) Anne Marie LOUIS, fille de François LOUIS et Élisabeth MARION (†1737). Généalogie ascendante d'Anne-Marie LOUIS.

116) Jean Baptiste de LATOUCHE, capitaine de grenadier au régiment de Bourbon-Infanterie, chevalier de Saint-Louis, propriétaire du fief de Daspich dans l’arrondissement de Thionville, fils de Robert de LATOUCHE (1697-1771) et Agnès COLLIN (1710-1786), né à Thionville (Moselle) le 7 septembre 1731, décédé à Florange (Moselle) le 3 avril 1791. Généalogie ascendante de Jean-Baptiste de LATOUCHE.


Il s'est marié religieusement le 18 novembre 1772 à Étain (Meuse) avec Marie-Marguerite MENGIN (°1750).

117) Marie-Marguerite MENGIN, fille de Nicolas MENGIN (1715-1777) et Anne Marie LOUIS, née en 1750. Généalogie ascendante de Marie-Marguerite MENGIN.


118) Jean-François-Louis de SAINT-BLAISE, chef de Brigade au corps royal d'artillerie de Besançon, écuyer, chevalier de Saint-Louis, fils de Michel II de SAINT-BLAISE (1702-1786) et Marthe LE DUCHAT (°1714), né à Metz (Moselle) le 26 mars 1739. Généalogie ascendante de Jean-François-Louis de SAINT-BLAISE.


Il s'est marié le 13 janvier 1779 à Metz (Moselle) avec Louise-Hyacinthe-Suzanne de LEURY DU PROY (1749-1822).

119) Louise-Hyacinthe-Suzanne de LEURY DU PROY, fille de Jean Baptiste Louis de LEURY DU PROY (1724-1780) et Anne Suzanne THIBAULT de MENONVILLE (°1726), née à Metz (Moselle) le 17 février 1749, y décédée le 16 novembre 1822. Louise-Hyacinthe-Suzanne s'est unie une seconde fois avec Louis de LAUBRUSSEL. Généalogie ascendante de Louise-Hyacinthe-Suzanne de LEURY DU PROY.


120) Lambert Joseph GILLARD, chirurgien, négociant en gros, fabricant de colle forte, lieutenant-colonel de la Postellerie de Stavelot, bourgmestre de Stavelot, fils de Michel GILLARD (†1754) et Marie Jeanne MERCIER (1695-1754), né à Xhignesse le 26 septembre 1734, décédé à Stavelot (Liège) le 24 février 1798. Généalogie ascendante de Lambert Joseph GILLARD.



Il s'est marié le 1er juin 1760 à Stavelot (Liège) avec Marie Anne Joséphine DUMONT (1735-1804). 

121) Marie Anne Joséphine DUMONT, fille de Simon François DUMONT (1704-1752) et Jeanne Marie DEFOSSE (1708-1780), née à Stavelot (Liège) le 12 janvier 1735, y décédée le 14 novembre 1804. Généalogie ascendante de Marie Anne Joséphine DUMONT.

122) Philippe SERVAIS, notaire à Mersch, fils de Bernard SERVAIS (1700-1788) et Anne Marie JACOBY (1715-1786), né à Meysembourg en 1738, décédé en 1801. Généalogie ascendante de Philippe SERVAIS.


Il s'est marié le 26 février 1770 avec Marie Catherine LACROIX, fille de François LACROIX et Catherine BREDEN, née à Udingen le 13 septembre 1745, décédée à Mersch le 14 avril 1771. Philippe s'est marié une seconde fois le 1er octobre 1777 avec Anne Marguerite LACROIX (°1747). 

123) Anne Marguerite LACROIX, fille de François LACROIX et Catherine BREDEN, née à Udingen le 11 mars 1747.




124) Philippe SERVAIS : Voir en 122

125) Anne Marguerite LACROIX : Voir en 123

126) Jean Gilles RICHARD, fils de Théodore RICHARD (1712-1776) et Anne Marguerite SERVAIS (1718-1776), né à Clervaux le 27 octobre 1745, décédé le 21 mai 1819. Il s'est marié le 22 juin 1772 avec Anne Marie FABER (1753-1842). Généalogie ascendante de Jean Gilles RICHARD.


127) Anne Marie FABER, fille de Chrétien FABER (1725-1795) et Anne Catherine DAIROMONT (1726-1768), née à Hosingen (Clervaux) le 8 juillet 1753, décédée le 3 mars 1842. Généalogie ascendante d'Anne Marie FABER.