NOTICE SUR AMEDEE MONTERRAD
PAR
E. MULSANT
LYON, IMPRIMERIE PITRAT AINÉ, RUE GENTIL. 4, 1878
Au moment où je prenais la plume pour tracer les lignes qui vont suivre, je n'ai pu me défendre d'un sentiment profond de tristesse !
Eh ! comment n'aurais-je pas éprouvé une certaine impression, en évoquant des souvenirs qui me forcent à jeter douloureusement un regard en arrière !
J'ai va successivement disparaître tous les membres de cette compagnie qui m'avaient fait l'honneur de me donner une place parmi eux, et avec lesquels j'avais entretenu des rapports si agréables ; j'ai même vu s'éteindre une foule de nouveaux venus parmi nous, auxquels leur âge devait laisser l'espoir de me survivre encore pendant de longues années.
De ce nombre était Jean-Marie-Amédée Monterrad, dont je veux essayer de vous esquisser la vie.
Mais avant de vous parler de cette existence si utilement et si honorablement remplie, de cet homme si bon et si généralement aimé, il est peut-être convenable de vous rappeler le souvenir de ses aïeux.
Sa famille, dont le nom se trouve écrit de diverses manières : Montera, Monterrat et de Monterrad, passait, suivant les traditions du foyer, pour être d'origine espagnole.
On la retrouve, au milieu du XVIIe siècle, fixée à Saint-Laurent-les-Mâcon ; elle y tenait le haut rang parmi la bonne bourgeoisie de l'endroit.
Antoine Monterrad, marchand, bourgeois et syndic de Saint-Laurentles-Mâcon, mourut en ce lieu, le 16 avril 1690.
L'un de ses petits-fils, noble-Marc-Antoine Monterrad, fut avocat au Parlement, juge de Marsonnat et des appellations du canton de Pont-de-Veyle ; puis receveur de la chancellerie du présidial de Bourg.
Alexandre Monterrad, baptisé à Saint-Laurent-lès-Mâcon, le 28 novembre 1707, vint, fort jeune, se fixer dans la petits ville de Montluel, où il fut successivement drapier puis conseiller du roi, contrôleur du grenier à sel, échevin et syndic de la dite ville.
L'un de ses fils, Joseph Monterrad, baptisé à Montluel le 22 noventbre 1735, fut bourgeois de Lyon, capitaine pennon du quartier des Terreaux, et reçut de ses concitoyens, comme témoignage d'affection et d'estime, une magnifique épée d'honneur.
Il avait épousé, le 19 mai 1767, Antoinette de Saint-Michel, fille de Jean-Baptiste de Saint-Michel, licencié en droit, secrétaire au Parlement des Dombes, bourgeois de Lyon, et de Benoîte Bret.
Armoiries de la famille Monterrad
Joseph Monterrad mourut à Lyon, le 1er vendémiaire an X. L'un de ses enfants, fut Sébastien Monterrad, né à Lyon, le 1 janvier 1769. Ce dernier fut marié deux fois.
1° A Marie-Donate Faulgeot, fille de Guillaume Faulgeot et d'Élisabeth-Josèphe Lanoix. Il se trouvait, par cette alliance, parent du Dr Lanoix, que nous avons vu conserver tontes les facultés de l'intelligence jusqu'à l'âge de cent quatre ans et demi.
2° En secondes noces, le 16 vendémiaire an IX, à sa cousine Antoinette-Judith Monterrad, fille de Jean-Philibert Monterrad, ancien garde du corps de Louis XV, syndic perpétuel et ancien maire de Bagé-le-Châtel, et de Marie Joséphine Fournier de la Rizze.
De ce second mariage naquit, à Lyon, le 12 germinal an XIII (2 avril 1805), Jean-Marie-Amédée Monterrad, objet de cette notice.
La mère de ce dernier mourut à la Guillotière, le 30 juillet 1849, et son époux, longtemps administrateur des hospices de Lyon, après une longue et honorable carrière, s'éteignit à Tassin, le 28 octobre 1860.
Le jeune Amédée commença ses études au pensionnat Grandperret, qui jouissait alors d'une certaine réputation ; il passa de là au séminaire de Largentière, où il les termina. Sa bonne conduite et sa régularité lui avaient fait donner la charge de réglementaire.
Au sortir de cet établissement d'éducation et d'instruction, il passa quelques mois l'École du commerce, puis il entra dans la Maison Ve Monterrad et fils, l'une des plus recommandables de nos fabriques de soieries.
Le jeune Amédée, chez qui la sagesse, la maturité et le jugement avaient devancé l’âge, se mit au travail, à dix-neuf ans, avec un zèle infatigable. Il fut bientôt chargé de la direction du cabinet de dessin, accompagnement obligé d'une maison de façonnés, mais qui compliquait le service et rendait plus difficile le rôle de chef de commerce, il s'acquitta de cette tâche avec une intelligence remarquable.
Il arriva au bout de quelque temps à être le chef de la maison. Son zèle au travail, son ordre et son assiduité avaient été remarqués de tous les employés : ceux-ci entrainés par son exemple, s'efforcèrent de marcher sur ses traces, et sa maison ne tarda pas à s'élever au premier rang de la fabrique lyonnaise.
Monterrad se vit bientôt entouré d'une estime générale. Il trouvait dans sa sage conduite, dans la considération dont il jouissait, et surtout dans sa vive affection pour ses parents, pour lesquels il professa toujours le plus profond respect, l'existence la plus douce qu'il soit possible de rêver sur la terre. Il songea alors à mettre le sceau à son bonheur, en cherchant une compagne digne de lui, et, en février 1835, il épousait Mlle Caquet-Vauzelles.
Cette union, dans laquelle il devait trouver toute la félicité qu'il se promettait, fut bénie, dans l'église de Saint-Bonaventure, par le digne curé, M. Jordan, parent de la famille de son épouse.
Monterrad joignait aux heureuses qualités qui le faisaient aimer, une intelligence, une solidité de jugement et une aptitude pour le travail, qui le firent successivement appeler à une foule de, fonctions, témoignages honorables de la haute estime qu'il avait su mériter.
Ainsi, nous le voyons :
En 1845, l'un des administrateurs de la Caisse d'épargne.
De 1846 à 1850, d'abord suppléant, puis juge au Tribunal de commerce de Lyon.
Du 16 janvier 1847 au 16 janvier 1858, membre de l'administration des hospices civils (1).
Monterrad, dans toutes ces réunions, apportait la lumière de son savoir et de son expérience.
Trop modeste pour avoir ambitionné une des fonctions dont il avait été honoré, trop délicat pour solliciter une faveur, il remplissait avec zèle toutes les charges qu'il avait acceptées, et faisait avec plaisir le sacrifice de son temps, pour être utile à son pays.
Mais il avait vendu trop de services à la société pour ne pas attirer sur lui l'attention du gouvernement, et, le 21 juin 1851, il se vit, sans s'y attendre, décoré de la croix de la Légion d'Honneur.
Monterrad n'avait pas seulement prodigué son dévouement dans diverses administrations de la cité, une foule de sociétés industrielles avaient en recours à ses lumières. Il fut souvent appelé dans celles qui paraissaient ébranlées, ou qui avaient à maintenir ou à accroit» leur prospérité.
Pendant vingt ans, il a été l'administrateur de la Compagnie des fonderies et forges de l'Orne. A sa mort, il faisait encore partie de l'administration.
Le 91 avril 1851, il remplaça M. Charles Gautier à l'Omnium, et vit son mandat renouvelé tous les six ans.
De 1849 jusqu'à sa mort, il fut régent de la Banque de France.
De 1855 à 1867, membre de la Chambre de commerce, sous la présidence de M. Brouette.
De 1848 à 1870, membre de la Commission municipale, puis du Conseil municipal, sous l'administration de M. Vaisse.
De 1863 à 1870, président du Cercle du commerce, auquel il donna une brillante existence.
Il avait tenu à honneur de faire partie de la Société d'agriculture ; il y fut admis en 1818, et en 1855 à la Société linnéenne.
Le digne curé de l'église de Saint-Polycarpe, M. l'abbé Chaumont, s'était empressé de le faire nommer fabricien de son église, et jusqu'à sa mort il était resté son ami.
Au moment de la création du Crédit lyonnais, il reçut des ouvertures de l'un des membres les plus influents de cette administration.
Le 10 août 1865, il concourt, avec divers autres financiers, commerçants ou industriels de la ville, à former la Société lyonnaise.
Au Gaz de Lyon, il prêta son concours et ses lumières, pour l’établissement de nouveaux statuts.
Il faisait partie de l'administration du Gaz de la Guillotière, de celui de Montpellier et de trois villes, et était président de celui de Saône-et-Loire.
A la mort de son père, il était à la tête de l'importante concession, dans le bassin de la Loire, des Houilles de Roche-la-Molière et de Firminy.
Deux arrêts du Conseil du roi, rendus, l'un, le 21 juillet 1768, l'autre le 11 février 1786, avaient conféré au duc de Charost, propriétaire de la seigneurie de Roche-la-Molière, la concession des Houilles de Firminy. Celui-ci la vendit bientôt au duc d'Osmont, et cette transmission fut approuvée par un arrêt du Conseil en date du 13 juin 1786.
La Révolution déposséda de fait le marquis d'Osmont ; mais la loi du 21 avril 1810 lui rendit ses droits.
Cependant la mise en possession souleva des difficultés auxquelles une ordonnance du 19 octobre 1814 mit un terme.
Tout en confirmant les actes précités, cette ordonnance imposa aux concessionnaires de nombreuses conditions, et régla l'étendue de la concession à 5,856 hectares.
Le marquis d'Osmont, remis en possession, s'associa diverses personnes pour donner à cette exploitation un développement convenable. Parmi ces nouveaux intéressés figurent le père et les oncles d'Amédée Monterrad ; et cette association fut un gage de prospérité pour la Compagnie.
En succédant à son père dans la direction des Mines de Firminy, une de ses préoccupations fut d'amener à Lyon le siège de cette Société, fixé à Paris.
Secondé par M. Baude, qui était entré dans ses idées, et grâce à l'activité de ses démarches, il finit par faire triompher son opinion en dépit d'une opposition puissante et jouissant d'une grande influence ; il rendit par là un service signalé à cette Société.
En 1867, i1 fut appelé à la présidence des Houilles de Firminy, en remplacement de M. Aynard, et il continua, comme son prédécesseur, à développer les produits de la concession et à la conduire avec sagesse.
Le nom de Monterrad a été donné à deux puits des houillères de Firminy.
Puits Monterrad à Firminy
D'une taille au-dessus de la moyenne, A. Monterrad avait dans ses allures un cachet particulier de vivacité. Sa démarche respirait l'homme affairé. Économe de son temps, il en connaissait le prix ; on le vit toujours soucieux de le mettre à profit, sans jamais le sacrifier à des discussions oiseuses.
Devait-il prendre part à une réunion, il se faisait une loi d'être d'une exactitude ponctuelle. Il fut en toutes choses épris de la règle.
Chaque sujet, rapidement mûri, dans son intelligence bien douée, soumis à son jugement par l'habitude de la réflexion et du travail, éveillait en son esprit une résolution presque toujours stéréotypée au coin du juste et de l'a propos.
Soigneux de son hygiène, il savait, autant que possible, se garder des petites imprudences qui peuvent souvent compromettre la meilleure santé ; et sans la maladie accidentelle à laquelle il a succombé, sa prudence, la sagesse de sa conduite et la longévité héréditaire de sa famille, semblaient lui promettre une longue vie.
Père de famille d'un dévouement à toute épreuve ; d'une grande égalité de caractère, il savait égayer son intérieur.
Toujours sévère pour lui, il réservait aux autres toute son indulgence. Il apportait, dans ses relations avec le monde, une cordialité pleine de séduction, qui lui valut beaucoup d'amis, et il savait les conserver.
Aussi eut-il universellement la réputation d'un homme de bien. Il s'est montré toujours le plus tendre et le plus respectueux des fils.
Aimer les siens d'un amour sans bornes, et être toujours prêt à servir l'intérêt général, tel fut le fond du caractère de ce collègue regretté.
Monterrad n'était pas administrateur à demi ; quand il acceptait une fonction, c'était pour en remplir toutes les charges ; il ne songeait jamais à l'honneur qu'il pouvait en retirer.
On a lieu de s'étonner que le même homme pût suffire à tant d'occupations si diverses. Il devait cette faculté à la régularité de sa vie, et aux habitudes d'ordre qu'il s'était imposées. Il se levait au jour ; se livrait, avant le déjeuner, au travail, surtout à celui de la correspondance.
Il sortait après le repas du matin, puis, durant une partie de la journée, il assistait aux diverses réunions administratives dont il était membre ; le soir, après quelques moments passés au Cercle du commerce, où il était toujours accueilli avec une gracieuse sympathie, il venait achever sa journée auprès de ses vieux parents.
Son mariage avait été béni. Il avait eu trois filles (2). Après les avoir établies, il s'était retiré à la campagne, où il passait une partie de l'année. Là, au lieu d'user son temps dans un repos qu'il avait bien mérité, il cherchait encore à être utile ; il s'occupait d'améliorations agricoles ; il était toujours disposé à faire l'essai de nouveaux engrais.
Il y avait été agité, pendant quelque temps, d'une préoccupation. Il avait visité, pendant un voyage en Angleterre, la ferme de Rotamsterd, où MM. Fawes et Gilerd poursuivent leurs recherches si connues. Il en avait rapporté un mémoire en anglais, qu'il voulait faire connaltre à notre Société d'agriculture ; la difficulté de la traduction ou d'autres motifs, lui empêchèrent de faire cette utile communication.
Plein de bienveillance et de soins pour ses fermiers ou vignerons, attachés la plupart depuis longtemps à sa famille, il s'était fait un devoir de leur fournir des logements hygiéniques. Il se plaisait à les visiter chaque année, et Dieu sait avec quel empressement il était accueilli. Il y était reçu comme un père bien aimé.
L'installation du cuvage et le bon état des logements suffisaient pour témoigner de son esprit d'ordre, l’une de ses vertus éminentes, et de l'intérêt qu'il portait à l'agriculture.
Il avait acquis récemment une propriété à Montluel et y avait fait des constructions capables de donner une idée de son goût.
Il était devenu possesseur de la belle propriété de M. Larreguy, à Civrieux ; il l'avait embellie et rendue plus productive ; il s'était épris, pour ce riant séjour, d'une sorte de passion. Aussi, éprouva-t-il un véritable chagrin quand une route nouvelle fut ouverte à travers ses bois d'un aspect si gracieux.
Sa table était toujours ouverte aux nombreux visiteurs, attirés, soit par le besoin de chercher des conseils, soit par les entraînements de l'amitié. Tous étaient reçus avec tant de bonté, qu'on ne pouvait quitter Civrieux sans avoir le désir de revoir son aimable propriétaire.
J'avais été lui rendre visite, dans cette campagne enchantée, quelques mois avant sa mort. Le respectable curé du lieu, notre ami Malmazet et divers membres de sa famille, faisaient partie de la réunion. Le dîner avait été gai, et rien ne me faisait pressentir que j'aurais bientôt à pleurer deux de ces convives.
Monterrad cependant m'avait avoué l'apparition de quelques symptômes précurseurs de la maladie qui devait l'emporter; mais rien ne faisait pressentir que ses douleurs auraient une terminaison si funeste.
Le mal, insidieux d'abord, prit bientôt un caractère assez grave, dont la science cherchait en vain à arrêter les progrès. Monterrad, qui s'apitoyait si tacitement sur les souffrances des autres, supporta les siennes avec une résignation courageuse et toute chrétienne.
Sur son lit de douleurs, il s'efforçait de faire regarder les visites de son médecin comme celles d'un ami et non comme celles d'un disciple d'Esculape dont il avait besoin.
Il s'efforçait ainsi, par tous les moyens possibles, d'endormir, sur son état, sa femme et ses filles, et dans les derniers temps, il s'évertuait à trouver les moyens de ne pas les recevoir à son chevet, tant était poignante la pensée de se séparer d'elles.
Le mal, d'abord lent, n'avait pas tardé à faire des progrès assez rapides. Monterrad ne pouvait plus s'aveugler sur la fin prochaine de sa vie, ni la cacher aux autres. Il désirait s'endormir, à Lyon, du dernier sommeil, pour reposer, près de ses ancêtres, dans le tombeau de sa famille.
En quittant Civrieux auquel il faisait ses adieux, il redisait sans doute en lui-même, comme le poste dont Millevoie nous a conservé les touchantes plaintes :
Bois que j'aime, adieu! je succombe,
Votre deuil me prédit mon sort ;
Et, dans chaque feuille qui tombe,
Je vois un présage de mort.
Fatal oracle d'Épidaure !
Tu m'as dit : « Les feuilles des bois
A tes yeux jauniront encore,
Mais c'est pour le dernière fois ! »
Il ne devait pas, en effet, voir reverdir ces lieux enchantés dont il se séparait.
Arrivé à Lyon, il ne s'occupa plus des affaires de ce monde. Entouré de ses enfants, qu'il cherchait à consoler, et fortifié par les secours et les espérances de la religion, dont il avait toujours suivi les préceptes, il s'endormit, le 7 novembre 1875, avec la tranquillité d'âme du chrétien pouvant offrir à Dieu une vie toute consacrée au bien et sanctifiée par une inépuisable charité.
Une foule nombreuse se pressait à la suite de son cercueil, pour l'accompagner à sa dernière demeure : les larmes que l'on voyait couler des yeux des assistants étaient les premières qu'il avait fait verser.
(1) Voici l’état des services qui lui furent confiées pendant le temps durant lequel il fit partie de cette administration :
1847 :
Adjoint au service de rachat des combuslibles et des liquides.
Jeudi. Visite à l’hospice de la Charité.
1848 et 1849 :
Adjoint au service de l'achat des combustibles el des liquides.
Membre de la commission des orphelins Denuziere.
Membre de la commission des enfants assistés.
Jeudi. Visite à l'hospice de la Charité
1850 :
Adjoint au service de l'achat des combustibles et des liquides.
Membre de la commission des immeubles.
Membre de la commission des orphelins Denuziere.
Membre de la commission de surveillance des enfants assistés.
Membre du comité d'admission des incurables au Perron.
1851 :
Adjoint au service de l’achat des combustibles.
Chargé du service de l'achat des liquides.
Membre de la commission exécutive.
Membre de la commission des orphelins Denuziere.
Membre de la commission des immeubles,
Jeudi. Visite à l'hospice de la Charité.
1852 :
Adjoint au service de l'achat des combustibles.
Chargé du service de l’achat des liquides.
Membre de la commission exécutive.
Membre de la commission des orphelins Denuzière.
Jeudi. Visite à l'hospice de la Charité.
1853 :
il n'y a pas eu de tableau de répartition des services pour cette année.
1851 et 1855 :
Adjoint au service de l'achat des combustibles.
Chargé du service de l’achat des liquides.
Membre de la commission dés orphelins Denuzière.
1856 et 1857 :
Adjoint au service de l'achat des combustibles.
Chargé du service de l’achat des liquides.
Membre de la commission exécutive.
Membre de la commission des orphelins Denuzière
(2) 1° Laure, épouse de M. Billoud.
2° Mlle Anna-Marta, épouse de M. Godinot.
3° Mlle Isabelle, mariée à M. Alfred Peillion.
Source : bibliothèque nationale de France, notice n° FRBNF36503290 (Tolbiac, LN27-30915)
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